Trois figures de femmes qui représentent les Charites qui descendent vers la tombe de « celui qui fit le bien et le fleurit d’amour », comme on peut lire dans l’épigraphe. Le thème de la « belle mort », qui est parmi les thèmes les plus fréquents dans les monuments de Staglieno du premier quart du XX siècle, présente une nouvelle force plastique : le mythe de la jeunesse et son regret sont exprimés à travers les mouvements des trois figures qui dansent, avec un style qui est par moitié typique de l’art Déco et par moitié typique du début du XX siècle. À partir de la seconde moitié des années 1920 le sculpteur De Albertis commence à rendre plus simples les représentations de fleurs et les autres composantes réalisées selon le style du sculpteur Leonardo Bistolfi, qui avaient caractérisé une grande partie de son activité précédente, pour rendre la composition plus solide et plus géométrique.